Organes: Utérus - Spécialités: Chimiothérapie
Essai clos aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 6 ans
Essai ouvert aux inclusions
UNICANCER MAJ Il y a 4 ans

PORTEC 3 : Essai de phase 3 randomisé comparant l’efficacité d’une radiochimiothérapie concomitante suivie d’une chimiothérapie adjuvante à une irradiation pelvienne seule, chez des patientes ayant un cancer de l’endomètre avancé. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer si l’ajout d’une chimiothérapie (concomitante et adjuvante) au traitement standard par radiothérapie pelvienne peut améliorer l’efficacité du traitement, chez des patientes opérées d’un carcinome de l’endomètre de stade avancé et à haut risque de rechute. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en deux groupes de traitement. Les patientes du premier groupe recevront un radiochimiothérapie concomitante comprenant deux perfusions de cisplatine à trois semaines d’intervalle, associées à des séances de radiothérapie, cinq jours par semaine, pendant six semaines. Trois semaines après la fin de la radiochimiothérapie, les patientes recevront une chimiothérapie adjuvante comprenant, une perfusion de paclitaxel et de carboplatine toutes les trois semaines. Ce traitement adjuvant sera répété jusqu’à quatre cures en absence de rechute ou d’intolérance. Les patientes du deuxième groupe recevront la même radiothérapie que dans le premier groupe. Au cours de cet essai, la qualité de vie des patientes sera évaluée avant le début du traitement, après l’arrêt de la radiothérapie, de la chimiothérapie, à six mois, puis tous les ans pendant cinq ans.

Essai clos aux inclusions

CETUXICOL : Essai de phase 2 randomisé évaluant l'efficacité et la tolérance d'une radiochimiothérapie pelvienne par cisplatine associée ou non à du cétuximab, chez des patientes ayant un cancer du col de l'utérus. [essai clos aux inclusions] L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité d’un traitement associant du cétuximab au traitement standard par cisplatine et radiothérapie pelvienne, chez des patientes ayant un cancer du col de l’utérus. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en 2 groupes de traitement. Les patientes du 1er groupe recevront une perfusion de cétuximab (1h) et de cisplatine (1h) le même jour, 1 fois par semaine pendant 6 semaines. Les patientes recevront également une radiothérapie pelvienne qui débutera une semaine après la perfusion de cisplatine et comprendra 5 séances par semaines, pendant 4 à 5 semaines. Les patientes du 2ème groupe recevront le même traitement que dans le 1er groupe, sans les perfusions de cétuximab. A l’issue de cette première partie du traitement, les patientes recevront un traitement complémentaire, selon les recommandations de chaque centre de traitement. Ce traitement comprendra, soit une curiethérapie utéro-vaginale, soit une radiothérapie complémentaire, soit une intervention chirurgicale. Dans le cadre de cet essai des échantillons de tissus tumoraux et de sangs seront conservés. Ces échantillons seront prélevés dans le cadre de la prise en charge standard (biopsie, prise de sang). Toutes les patientes auront un bilan de fin de traitement entre 3 à 4 semaines maximum après la fin du traitement, puis les patientes seront suivies tous les 4 mois pendant 2 ans.

Essai clos aux inclusions
Eisai MAJ Il y a 4 ans

Étude MK-3475-775 : étude de phase 3 randomisée évaluant l’efficacité et la sécurité du lenvatinib en association avec du pembrolizumab par rapport à un traitement standard déterminé par l’investigateur chez des patientes ayant un cancer de l’endomètre avancé. Le cancer de l'endomètre est la 4e cause de cancer chez la femme en France ; on estime à 7 275 le nombre de nouveaux cas en 2012. Après le cancer du sein, c'est le plus fréquent des cancers gynécologiques. Un cancer se développe à partir d'une cellule de l'endomètre initialement normale qui se transforme, puis se multiplie de façon anarchique jusqu'à former une tumeur. Le lenvatinib agit en bloquant l’action d’une protéine produite en quantité anormalement élevée dans les cellules tumorales qui joue un rôle dans la communication, le développement, la division et la croissance des cellules. Le pembrolizumab est un médicament agissant sur le système immunitaire pour le rendre apte à attaquer les cellules cancéreuses qui a montré une activité anticancéreuse clinique sur un large éventail de tumeurs. La doxorubicine a des propriétés anticancéreuses en bloquant la synthèse de l’ADN de la tumeur et le paclitaxel agit en ralentissant ou en bloquant la croissance des cellules cancéreuses. L’objectif de cette étude est d’évaluer l’efficacité et la sécurité du lenvatinib associé à du pembrolizumab par rapport à un traitement standard déterminé par l’investigateur chez des patientes ayant un cancer de l’endomètre avancé. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en 2 groupes : Les patientes du premier groupe recevront du lenvatinib une fois par jour associé à du pembrolizumab toutes les 3 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patientes du deuxième groupe recevront un traitement standard au choix du médecin investigateur entre de la doxorubicine toutes les 3 semaines ou du paclitaxel une fois par semaine pendant 3 semaines pour une cure de 4 semaines jusqu’à progression de la maladie ou intolérance au traitement. Les patientes seront revues 30 jours après la fin du traitement à l’étude puis toutes les 8 semaines et seront suivies par téléphone toutes les 12 semaines.

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Ability Pharmaceuticals MAJ Il y a 4 ans

Étude Endoluung : étude de phase 1-2, évaluant l'efficacité et la tolérance de l'ABTL0812 en association avec le paclitaxel et le carboplatine, chez des patients ayant un cancer endométrial avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules. Le cancer se développe à partir de cellules normales qui se multiplient de manière anormale pour former une masse ou une tumeur. Le cancer de l'endomètre est la 4e cause de cancer chez la femme en France. L'endomètre est le revêtement intérieur de la paroi du corps de l'utérus, la partie de l'utérus où se déroule la grossesse. Le plus souvent, les cancers de l'endomètre prennent naissance à partir d'une cellule de la première couche de l'endomètre, l'épithélium. Ils sont alors qualifiés de carcinomes Le cancer du poumon non à petites cellules représente 85 à 90 % de l’ensemble des cancers du poumon, 4e cause des cancers les plus fréquents en Europe. Il se différencie du cancer du poumon à petites cellules par la manière dont les cellules tumorales apparaissent au microscope. Les trois principaux types de cancers du poumon non à petites cellules sont les carcinomes épidermoïdes, les adénocarcinomes et les carcinomes du poumon à grandes cellules. Le traitement de ces cancers repose sur la chirurgie, la radiothérapie, la chimiothérapie, l'hormonothérapie et la thérapie ciblée. L’ABTL0812 est une petite molécule qui active des récepteurs PPAR et le gène TRIB, entrainant l’inhibition de la croissance tumorale qui est excessivement activée dans la plupart des cancers humains. Le paclitaxel et la carboplatine agissent en ralentissant ou en bloquant la croissance des cellules cancéreuses afin de pouvoir les détruire. L’objectif de cette étude est d’évaluer l'efficacité et la sécurité de l’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et du carboplatine chez des patients ayant un cancer de l'endomètre de stade avancé ou un cancer du poumon non à petites cellules squameux. L’étude se déroulera en 2 phases. La 1ère phase comprendra 2 étapes : * Lors de la 1ère étape, les patients recevront de l’ABTL0812 PO seul pendant 7jours. La dose du ABTL0812 sera régulièrement augmentée par groupe de patient afin de déterminer la dose la mieux adaptée à administrer lors de la deuxième étape. Puis les patients recevront de l ’ABTL0812 en association avec du paclitaxel et carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression et d’intolérance au traitement. * Lors de la 2ème étape, les patients recevront de l’ABTL0812 seul, à la dose la mieux adaptée établie lors de la première phase, 3 fois par jour. Le traitement sera répété pendant au moins 12 mois en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Lors de la 2ème phase, les patients recevront de l’ABTL0812 seul à la dose la mieux adaptée établie lors de la 1ère étape, en association avec du paclitaxel et du carboplatine. Le traitement sera répété jusqu’à 8 cures en l’absence de progression ou d’intolérance au traitement. Les patients seront suivis pendant une durée maximale de 24 mois après le début de l’étude.

Essai ouvert aux inclusions

Étude FANDANGO : étude de phase 2 randomisée visant à évaluer l’efficacité du vargatef (nintédanib) en association avec une chimiothérapie chez des patientes ayant un cancer de l’endomètre avancé ou récurrent. Le cancer de l’endomètre prend naissance le plus souvent à partir d’une cellule de la première couche de l’endomètre, l’épithélium. L’endomètre est la partie intérieure de la paroi du corps de l’utérus. Le cancer de l’endomètre est la quatrième cause de cancer chez la femme en France et il touche généralement les femmes après la ménopause. Le traitement par chimiothérapie standard se fait avec du carboplatine et du paclitaxel, qui peuvent être associés à d’autres molécules ou à une radiothérapie. Le nintédanib est une petite molécule inhibitrice des tyrosine kinases qui jouent un rôle important dans la prolifération, la migration et la différentiation des cellules tumorales. L’objectif de cet essai est d’évaluer l’efficacité du vargatef (nintédanib) en association avec une chimiothérapie chez des patientes ayant un cancer de l’endomètre avancé ou récurrent. Les patientes seront réparties de façon aléatoire en 2 groupes. Les patientes du 1er groupe recevront du carboplatine et du paclitaxel toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures associés au placebo du nintédanib, 2 fois par jour à partir du deuxième jour, en continu jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patientes du 2ème groupe recevront du carboplatine et du paclitaxel toutes les 3 semaines jusqu’à 6 cures associés au nintédanib 2 fois par jour à partir du deuxième jour, en continu jusqu’à la progression ou intolérance au traitement. Les patientes seront suivies pendant un minimum de 2 ans et demi.

Essai ouvert aux inclusions